Projet Pêches côtières et aquaculture durables pour les moyens de subsistance, l’alimentation et la sécurité économique du Pacifique (SCoFA)

Men on a small boat on the shore or the beach

ID Card

Bailleurs de fonds
Ministère des affaires étrangères et du commerce de Nouvelle-Zélande (MFAT), avec le Ministère Australien des affaires étrangères et du commerce (DFAT)
Beneficiaries
Régionaux (22 États et Territoires insulaires océaniens)
Grant
14.1 million NZD
Start Date
End Date
SPC Contact
Andrew Smith

Le projet SCoFA vise à renforcer la durabilité des ressources halieutiques côtières et aquacoles dans le Pacifique en vue d’améliorer la sécurité alimentaire, les moyens de subsistance et la résilience économique et environnementale.

Le projet Pêches côtières et aquaculture durables pour les moyens de subsistance, l’alimentation et la sécurité économique du Pacifique (SCoFA) vise à renforcer la durabilité des ressources halieutiques côtières et aquacoles dans le Pacifique en vue d’améliorer la sécurité alimentaire, les moyens de subsistance et la résilience économique et environnementale. Financé par le ministère néo-zélandais des Affaires étrangères et du Commerce et avec l’aide du ministère australien des Affaires étrangères et du Commerce, il permettra de renforcer les cadres juridiques et politiques en faveur d’une gestion durable, et de contribuer à l’amélioration des pratiques de suivi, de contrôle et de surveillance ainsi qu’au renforcement de la biosécurité aquatique et des compétences techniques et entrepreneuriales pour des opérations aquacoles océaniennes optimisées et diversifiées.

Lancé en août 2021 pour une durée d’un peu plus de six ans, le projet SCoFA sera déployé dans les 22 États et Territoires insulaires océaniens jusqu’en novembre 2027. Cinq produits clés sont escomptés :

  1. élaboration et promotion des pratiques de biosécurité aquatique ;
  2. formation commerciale et appui technique au profit des entreprises aquacoles et des pouvoirs publics ;
  3. gestion des pêches côtières et de l’aquaculture rendue possible par la mise en place de cadres juridiques, de formations et d’un appui à l’exécution ;
  4. mise en œuvre de pratiques de gestion des pêches côtières et de l’aquaculture, par le biais de la participation des communautés, du suivi, du contrôle et de la surveillance ainsi que du respect de la réglementation ; et
  5. coordination régionale destinée à soutenir et à promouvoir la transposition à plus grande échelle des régimes de gestion communautaire des pêches dans les pays océaniens.

Ces produits aboutiront à toute une série d’effets escomptés, dont les suivants : pêches côtières et aquaculture au niveau national et communautaire soumises à une gestion, à un suivi et à des mesures réglementaires plus efficaces et durables ; législation et politiques permettant une prise de décision et une planification plus claires et transparentes dans le secteur des pêches côtières et de l’aquaculture ; aquaculture plus productive, diversifiée, socialement inclusive et durable au plan économique et environnemental ; et aquaculture et pêches côtières protégées contre les menaces relatives à la biosécurité aquatique.